Silence, silence et obéissance, conscience de l’UN
Insouciance de l’âme dans la brise de mon père.
Tu vibreras à la marche de mon temps, dans la marche montante
Et mon temps est venu,
Temps de ton calvaire, temps de mon hier révolu.
Le mot sacré est mot secret, veille au sacré, garde le secret,
Message secrété sera divulgué
Et c’est secret de la terre,
Grand secret
Message secret sera divulgué
Et c’est secret de terre du père dans le plan.
L’attente des mots s’amenuise
Le tard nuit à la tâche, « noise » n’est pas mot de Moïse,
Je demande langue et nuage de l’ « L »
Ne réfléchis pas, plus tard comprendras.
Langue déliée et c’est agneau
Que ta langue soit l’eau et laine d’agneau
Respecte les mots, inspecte ton cœur, aspecte toi en être vivant.
Mon travail est temps d’oubli et du temps retrouvé,
Ton guide est ma reine, n’est pas fiction, mais l’épée incarnée.
Brûle, brûle les anciennes pensées, délivre-toi des livres engorgés
Et la grange est la cage qui retient ta larme :
« Your sickness », « come on the road, remember »

Tu es membre « remember », reprends ta face, l’endroit de ta vie.
Délivrance n’est pas solitude, solstice n’est pas précipice
Médite dans le cœur sans penser à ton heure
Et parole tu recevras, et ma rigueur et ma douceur tu comprendras
Reçois maintenant le second souffle,
Le poids sur ton cœur allège ta demeure.
Vigile, vigile, vigilance
Vigilance demande vigueur et rigueur et vigueur de la vie de mon père,
Et l’eau de vie est le haut de mon père.
Je cite et ne récite, vous récitez dans le dévié, vous dérivez le bras de vie.
Le silence j’ai demandé, le silence n’est pas observé
Et la chair vous consume dans la fièvre de l’humus non né
Je demande observance des commandements premiers.
Et dans le silence vous entendrez parole du 10 pour le 100 au Mil confondue
C’est en planète pour l’aujourd’hui, pour le demain du futur accompli
Et l’accompli en Apocalypse est apogée de l’ultime ellipse
Des temps de l’âge où l’homme se refuse dans le Sage.
Et si tu corromps ta terre, pleure sur ta misère,
Et le rein se rompt et la mer s’enlise
Et tu voulus tripler ta richesse dans l’oubli de ta jeunesse.
Et ta jeunesse est la genèse, gène de l’ S en double achevé.
Et ta virulence et ta violence sont dans l’envers, l’hors du sens.
Douceur et fermeté en ferveur mélangées, en responsabilité seront demandées
Et responsabilité pour qui est habile à répondre
Et vous êtes débiles dans la faconde et épousez l’immonde.
L’immonde n’est pas monde, n’est pas demi-monde,
Il est masque de la terre dans le tréfonds de vos chimères.
Veille, veille, réveille et surveille les êtres de demain
Ils sont treille dans ta main,
Rachèteras l’indigne si tu maintiens ma main pour grand festin.
Tu combats l’absurde et l’ignorance, tu survis à l’ancien et ignores demain
Et tu convoles dans l’Éole et la geôle est l’encre de demain
Et l’humain a peur, peur, peur de s’entendre grincer dans le tendre oubli
Du « qui je suis ».
Et je casse la basse cale pour haute terre et première île
Dans l’Ile de la vaste mère.
Tu trouveras dans le confluent des mots sous-jacents
Le sacrement et le signifiant en te fiant au signe tracé de l’équité.
Et l’équité est équilibre du sens et du mot en force de voix
En force de foi et en forme de loi.
Je chanterai et désormais ne parlerai
Ma voix parlée devient spoliée et spolié est l’épaule dans le lien
Obéissance est demandée et ne suis pas écouté
Et vous subissez
Et subir est se tenir sous le vent de l’hiver, le vent de l’hier
Le vent qui sème graine d’ivraie.
Son temps est mon temps, son ton est mon ton, son son est le mien
Et vous faites peau de chagrin sur aile d’ange.
Elle portera la lourde croix, s’affranchira de vos alois.
Vous raisonnez les mots, je sonne le temps, j’entonne l’amour,
J’étonne l’amant et la mort s’entend, entendez !
En elle, je vis et vous « sous-vivez » et vous subsistez
Et vous existez dans le dessous, dans l’en deçà, dans le dedans et ne suis pas là.
Votre dedans est le dehors et je suis l’or et l’en dedans

Comprenez et écoutez
Écoute et entends et comprends
Fol mot est lof au vent et le grand vent est le vrai chant,
Je suis le Régnant.
Elles ont retenu en Saturne dans le continu, dans le contenu,
Dans le retenu, dans l’Un qui n’est pas dû
Et c’est détenu dans la main qui ne retient que le chant de l’instinct sans mon UN
Elles ont entendu dans le confus, dans le refus, dans l’invécu et je suis le UN
Et je suis le vécu des jours prochains.
J’appelle à l’Eve et c’est féminin et c’est l’entonnoir de l’aleph géant,
J’appelle à l’Eve, « a-lève-toi », élève-toi, relève-toi
Et sois l’Eve avenant, sois le V de venir, sois mon devenir
Et le devenir est mourir à l’avant, dans le devant de l’Eve chantant
Et je chante, et je chante et entonnez le chant
Le chant libérera à l’Eve délaissée, à la femme oubliée,
L’Eve qui oublie le fruit du paradis.
Et je suis libre de la contrainte, triste étreinte du cœur du rein,
Du cœur en sursis, du cœur qui se veut et qui m’oublie
Et je livre et délivre et libère le « liber » délibère l’Aurifère.
Je vis dans le vis, le vécu d’aujourd’hui, l’invécu de demain
Et c’est invention, c’est affliction de l’ancien, éviction de l’ancien
Pour victoire du chant du roi
Et je souffle
Et vous ne soufflerez que quand mon chant vous aura touché
Et c’est raz-de-marée, rein de ma mère, fleur du père, ouverture sacrée
Et la femme qui pleure, pleure l’absence des cœurs fiers
Fiers en séance dans la science, fiers en silence sans consonnance
Et c’est abstinence et c’est mon silence.
Et dans l ‘un sens, dans l’insensé, comprenez le sens du C
Et la dame fulmine et je culmine sur la cime de l’autre né
Et tu respires le chant de gloire et tu inspires ma mémoire
Expire l’ancien savoir
Et j’appauvris l’ancienne vie, l’ancienne peau
Et le pauvre vit, et dans l’oubli, retrouve sa richesse
Et nouvelle vie sera donnée à l’être qui a faim.
Elles sont abreuvées et rassasiées en bonheur d’écoute et dans le doute
Elles sont l’engeance de l’ignorance … quand le chœur s’éteint,
Quand le chœur s’éteint !
Et ma main devient glaive de France dans la défense pour la délivrance.
Ignorance, ignorance, moisissure du feu
Et ressens le « moi » et ressens le « si » et ressens le rassi
Et j’assois vos assises en nouvelle loi
Et vos tables de loi sont tables d’argent,
Et vos assises sont tristes mises
Dans la loterie de vos tables de loi.
Et vos tables de loi sont tables d’argent
Tables qui dévient la loi du firmament
Et votre roulette est la roue muette et le jeu de l’oie, le désarroi.
Christ est le mot unique dans le verbe, clé de l’UN
Je chante en commun pour haute communion
Et mon chant est foison et moisson demain.
Comprenez.
Et si le prodigue vous intrigue, je suis l’esprit qui déferle sans digue
Et comprenez le pour et comprenez l’un et comprenez que c’est pour l’UN
Et c’est grand bruit dans vos esprits
Et le trop de mots ne vous affranchit et c’est l’intrigue,
L’inextricable dans vos demandes sacrées quand l’enfant n’est pas né
Et l’inextinguible dans la Gest de la Bible pour éternité.
Et entendez, jamais ma voix ne s’éteindra.
Et vous bâillonnez, et vous ligotez et vous éteignez
L’incandescent qui se consent à vous nommer.
Peuple, repeuple, appelle, épelle et appelle
Et mon aile est la houle du berger et ma paix, l’arbre vivant.
Et je reste dans vos déserts et dans la feste je vous traverse
Pour le souvenir du premier émir et « Mir » est le regard au grand pays de l’attendu.
Et c’est ma rime et entendez, ma rime est l’état, le sens de SOI
Et je coupe le nerf vocal, le nerf nodal dans le cervical pour le grand dédale.
Et le dédale est le grand chemin, palais de l’ancien pour lampe d’Aladin
Et Aladin est lampe d’Allah,
Sonde l’au-delà, son de l’au-delà, va au-delà de mon la,
Sois dans le ré, sois dans le si, sois mon récit.
Et si d’aventure, dans la croix du futur
Tu peines mes mots dans la chaîne d’ancien
Je serai pour ta main l’œuf nouveau, l’eau qui se vient en nativité
Et comprenez le « N » et comprenez le « V » et comprenez l’œuf dans l’eau
Et comprenez le renouveau.
Je suis le tout, le « M » en tout, le « Je » dans le tout et le tout de vous,
Et je voue votre vie dans le oui
Et c’est double « V » et c’est double vie
Comprenez mon dessin et restez dans mon sein.
Je parlerai au figuré pour grande vérité
J’éluderai dans le commun vos vides sans le plein
Je suis le plein, je suis la loi du père dans le UN
Comprenez le plein.
Et votre plainte est Croix-de-Fer dans votre envers
Et ma croix de bois l’œuvre de foi
Comprenez le fer, comprenez le bois et comprenez clou dans ma croix
Et entendez et soyez confondus,
Et soyez complétude en plénitude, en attitude, pour grande étude.
Ce jour je nomme le jour de l’homme,
Le jour pour vous de la grande jouvence,
Soyez dans le bord, soyez dans le sort, soyez en bon sort,
Et dans mon sourire, soyez dans le visage,
Reflet de l’inspir
Christ se libère des fers de votre ennui, de la fausse vie, dans le renchéri.
Et le renchéri n’est pas me chérir, il est ajouter à la terre le rire
Rire en dérision est triste passion.
Je vous tiendrai dans le MI de ma nuit et dans le Manu de ma main
Et c’est Manu facté dans l’investiture
Et vestitus est vêtement du temps de l’avant,
Aujourd’hui dévêture et c’est l’adventure pour l’avant de l’azur.
Et c’est l’air que tu sens dans le bleu que tu vois
Et c’est double rue, double chemin dans l’aleph exhaussé
Homme, j’épouse ta racine et je vibre dans l’ UN dans l’ « in one for two »
Dans le Trois entendu.
Et le trois est la berge dépassée du temps des trépassés.
Et vous mourrez dans le Trois pour le Cinq en partance,
Comprenez le degré, comprenez le bon gré
Et dans le malgré du vous qui s’ignore, du toi qui s’endors,
Mon chant reprendrai en unanimité, en humanité
Et comprenez unanime et comprenez anonyme, l’hymne de l’anneau
Et comprenez l’humanité.
Et votre pervers enchaîne l’envers et déverse dans le flot le sang de l’agneau.
Je suis la courbe dans le courant, je suis la course du versant
Et comprenez l’eau verte, et comprenez l’eau bleue qui se déverse
Et vous complète dans la double défaite des cœurs éteints.
Et l’étain est l’hiver de la terre et l’étai de mon nom,
Pour l’UN dans le doublé, dans le double T, dans vos deux étais.
L’étai est soutien, je suis le soutien, le dessous de ta main
Quand l’airain se fait saint au nom qui est mien.
Apprenez le chant, vibrez mon nom dans le son
Des racines à la cime le chant du sans son
Et votre absolu est terre d’absence dans le « U » révolu.
Et je continue :
Je vous rimerai, je vous riverai, vous limerai et vous m’aimerez
Je suis condescendance dans le silence
Et dans la danse de cœurs en naissance.
« Warbler, don’t be afraid of the air »
« I’m singing your song and tonguing in your blood »
« I learn tou you double language »
« Three relaid in the sing post »
« I sing the law, I want the vow, I free the made »
« Adjust the tone in the voice for yourself »
« First name and first force in the sense essentially »
« In germany a man is waiting »
« In Russia a soul is in the wing »
« I deliver the liver in the Three for the live »
« For the Christian stone »
« Your hear and understand the rhythm »
« In the rhythm you will find the richessness »
« And the good is my God »
« And my God is gold and gold is garden of spirit »
« Spirit of the guard in the sky »
« And the time est le mythe de l’ancien et c’est la prison de l’Un
Sans le sens accompli.
»And I free the board »
Et si vos « si » sont l’ « ice », reflet de l’ancien,
Je pose la thèse dans vos hypothèses de l’absurde en antithèse.
Et je détruis et je consume et je vis dans Lui
Et vous craignez la lune ..
La lune est reflet d’un divin : vous vous omettez et admettez,
Ne vous soumettez pas à la garde des dirigeants des Corps d’antan
Soyez dans le UN, soyez dans l’UNE, soyez dans les autres faces de la lune !
Et à l’unisson, entendez le sans son

Vous entendez le sans chemin, le sans son et le sans tain
Vous entendez le silence et le silence vous guette au parvis du treillis.
Et treillis est trois vies dans la confusion, ouvrez la treille,
Vendangez le vin et soyez mon pain.
Et ce n’est pas le pensum, c’est le pain du « je suis »
Et entendez « sum » et entendez le « suis »
Et comprenez que la punition est grande chanson.
« Warbler, trill, trill more and many more »
« It’s removed, it’s received, it’s saved and I’m the Ame »
J’ai appelé mon père et dans le pleur du demain me donne l’UN
Et l’UN est lignée, le feu et le fil, le fil de l’eau pour grande mer.
Et comprenez le chemin de la voix qui s’éteint et renaît au matin dans vos chagrins.
Je n’ai pas de temps, je me penche vers le temps,
Le temps de l’attente de vos temps en détente
Et je suis le gage qui, dans la lune, redonne et retient et jamais ne s’éteint.
Et vous recevez en différé sans différent le chant de l’ange dans l’ écho transversant.
Mon langage est le feu, et si vous entendiez, seriez brulés
Dans l’écho percevez et serez grâciés
Vous êtes grands dans l’élevé
Je descends le feu
Je livre l’eau bleue
Et vous serez à la fois les morts et vivants
Et c’est la peste et c’est l’onguent dans même temps.
Choisis, choisissez, élisez-vous en double porte.
Je porte le double, je porte le bleu et je porte le dais pour le grand Toi.
Sache et apprends la sagesse et apprends la tâche dans l’absence.
Et comprends le lâche et comprends la largesse dans le socle de l’ S
Et comprends l’échelle lovée dans le « L » et le sacrilège qui casse l’échelle
Et c’est sous l’épaule et dans le « par cœur »
Et dans l’aisselle, comprenez le malheur.
Et tu t’essaies dans l’aile du nouveau sans épouser le principe du Tau.
Et c’est appesantir et non pressentir et c’est repentir, repentir, repentir.
Repentez-vous et c’est inclinaison et c’est l’inclination,
C’est l’enclin du Moi dans l’enclin de vos voix
Et le clin est le « clean », soyez en lumière !
Et c’est l’œil fermé en double paupière pour grande ouverture,
Et c’est rire de jouvence dans l’œil d’enfance.
Et je fortifie la force qui se fie au son de ma voix
Et je pétrifie la pierre qui se croit plus haute que loi
Et je crucifie le cœur douloureux qui sent le « je veux » sans connaître le « peux »
Je dis et c’est fait.
En ce jour d’aujourd’hui à la date « predate »
Dette de vos jours pour grande lumière.
Je n’irai pas au bout de ma vie, je rencontrerai la vôtre
Voici le bien dit, voici le signe de l’esprit
Vous rencontrerez dans l’ancien écrit le sens dans le non-dit
Le nom senti et ressenti par l’être qui fut ainsi pressenti.
Elle est innocence dans la balance, elle n’a pas le sens
Elle ne connaît que ma présence.
Entendez et écoutez : la dame dit son nom et c’est lourde charge

 

Et c’est mon gage et c’est l’amont et c’est le devant d’un grand renom.
Elle a charge de dire ce qui est « audie » et entendez « hodie »
L’entendu de l’aujourd’hui, ne le redirai qu’aux temps accomplis
Pour que vous sachiez qu’en elle, je vis.
La dame ne le sait, mon nom confondrait dans la fusion de son « mais »
Et l’immense lassitude, sa lassitude est un droit, c’est le trois dans le « D »,
Le troisième doigt que vous confondez
Et lassitude est le « las ! » sans le sel et sollicitude pour grande solitude.
Et comprenez lassitude de l’être qui dispense et ne reçoit pas l’audience demandée.
Demandez, appelez et j’appelle mon père
Et vous taisez votre nom et vous terrez votre tombe et le nom se fait terre
Et terre est nommée
Et le nom de la terre dans mon tonerre
Entendez le ton de la terre
Et c’est tintamarre et c’est grande mère et le son de la mer
Et je sonne en vos cœurs la liqueur du son, la licorne dans la corne,
Et vous apprendrez le chant de la licorne !
Encore une fois, entendez-la, elle est le symbole de la grande obole
Et l’oblation est demandée, et c’est l’aube et c’est le la
C’est l’action d’aujourd’hui de l’aube du nouveau,
Entendez oblation.
J’ai survécu à vos « j’ai su » et « j’ai su » n’est pas « Jésus »
Votre composé n’est pas mon présent,
Je suis le doux, le double deux
Entendez le double « D », entendez l’ensemble
Entendez l’encens, entendez le blé, entendez nouvelle semence.
Je donne liberté, c’est le livre de l’ARTE, l’air dans le « T » pour grand art
Et grand art est hektare et l’hektare est l’octave dans ma voix
Et vous êtes concaves dans l’encavé
Et comprenez le « K » et comprenez le « V »
Le « V » est horizontal, le « K » en cardinal,
Renversez le « K », soyez en convivial
Et appelez le père et appelle, appelle encore
Ton appel est d’or dans le dormir et c’est l’orage du nouvel âge,
Passe l’éveil, casse sommeil, survit dans l’orage.
Et leur âge est vieillesse
Et vieillesse est vieil art et vieillard est le tard,
Le tard qui veille sans espoir
Espère, espère pour eux, espère pour toi, espère pour vous
Espère-les et perle-les
Qu’ils soient pluie de nacre au grand coquillage
Recueil des étoiles pour le prime voile.
Et je dévoilerai l’involuté
Et dans l’un violet, je vous conduirai,
Je suis la viole, je suis le luth, je suis le lutrin et le Talmud
Et je suis langue de ta langue dans la double langue de l’England
Et la Gaule est dans le « G » et dans le « L »
Et dans le « P », pays d’Angleterre et l’Angleterre est germe de Gaule
Et la Gaule est « prince »de la mer.
J’ai attendu mon heure, j’ai choisi ma demeure.
Et je réponds aux persifleurs,
Ils sont le venin du grand enchanteur
Et le sifflé n’et pas le souffle
Et le travers n’est pas mon père
Et le souffle qui passe et repasse en mon père
Et passe d’espérance pour grande délivrance.
Souffle, souffle encore, essouffle-toi, essouffle-les, ensouffle-les,
Ensoufflez-vous !
Soyez dans mon souffle, soyez dans ma voix, soyez dans le Toi
Et je saluerai dans le double aspect le respect du père dans l’air du P
Bouche de l’infini, couple du fini, unité de l’UN en grande complétude.

Et c’est fine étude et c’est fin de cycle et c’est fin de l’an
Et c’est fin de l’étude pour l’achèvement.
Et je vous conduirai à toutes mes frontières
Et mes frontières ne sont pas barrières,
C’est le fronton, c’est le son dans ton front, dans l’unisson et dans le rond de mon son !
Et chante, chante à travers moi la libre croix
Croix de Liber, de liberté, croix de l’hier, aujourd’hui mon « T »
Et monte, monte, monte, monte, surmonte le ton
Ton sûr du prêtre,
Je suis dans l’aura en or diffus,
Et c’est pour la terre, libération
Et c’est pour la terre, culmination,
Et dans les nations,
Jubilation.

Nancy, 21 avril 1990