Et l’oiseau, plume dans le nid, traduit, traduit, induit le son
Et dans le vocable, chante au vocal, vocal, vocalise,
Volatilise le voile de ma voix pour hymne élevé.
Et le mental, le grand menteur, sous le manteau de son cerveau,
Dans la cape d’orgueil, tente l’effort vers le beau.

Et l’aventure est haute lumière, nouvelle kabbale pour le Sagittaire.
Et la fauvette, faute de l’Ève efface en chantant.
Appelle le Père et le grand Sauveur
Et dans l’offre de ton cœur, immense blessure,
Te donnera l’investiture.
Immense est la voie qui conduit aux étoiles,
Infime l’espace où passe l’espérance
Et l’infini s’ouvre dans le onze,
Souffle de l’homme qui se fait nonce.
Accumuler est sotte pensée, c’est addition sans la diction
Et les dictionnaires prêchent l’hier
La compréhension est dans la dictée, vision du verbe dans le front.
Amonceler est savoir tronqué et vérité est nudité.
Au cœur de Neptune, dans les Sept de lune,
Pour grande étude du premier testament,
Dans les trois « T » chante l’amant.
Et les énigmes sont en image, l’imaginaire est nœud dans le pied
Tunique de peau pour l’homme blessé, aliéné, ensorcelé !
Et lis le sort et lis la source, à pied délié le nouveau port.
Et l’homme jaspine et l’homme chicane et l’homme se niche
Et se cache et jacasse et se casse
Et le grand chien dans les étoiles, dans le triangle, retient le voile,
Et la lionne ailée, dans l’œil du passé, dans la citadelle, reçoit le mot clé.

Et Circé est le cri qui aveugle le cœur
Dans la basse ivresse du faux chercheur.
Et comprenez le « R » dans son envers
L’yod qui love l’Ève en son anse
Et comprends le « R », dans l’équerre, tout s’éclaire
Paix de l’esprit dans l’essence du Père.
Et c’est l’eurêka dans la prime rose,
Parfum d’au-delà encense la prose.
Et le mental ne retient pas, il est aliment, n’est pas le talent
Et je préviens le faux savant,
Celui qui prétend tempête au néant.
Et vos temples sont tempes du suprême typhon,
Dans les trois auvents jusqu’à vos tympans,
Tympan, tympan et flûte de Pan,
Petit tambour, tu n’enamoures et petit voile explosera …
Pour être ma lyre et mon « la ».
Doigt de fée, doigt de l’évent, sois le lit de mon vent
Sois l’ « L  » du « T » pour terre de 100 et comprends le tympan
Et lie au « P » l’esprit vivant
Et dans le « G », divine glande, au coeur de Liber est la demande,
Gardiens du seuil dans le silence :
L’ « R » du père dans l’yod se ganse
Et les gardiens sont serviteurs du cœur brûlant.
Et c’est tête bien faite dans le « passant »
Et c’est haute porte de Cyprine.
Et dans le Cygne, grande hypothèse, thèse et Thésée,
Suis le fil juste posé.
Et dans la ligne, trace le Shin, le Trois « entracé » dans l’âme élevée.
Et c’est la cheville, chemin de la ville et talon d’Achille dans l’homme servile,
Le chas de l’aiguille au juste pied !
Et souris, souris, ton sourire m’enchante :
Il est rire d’oiseau qui se prend à voler et tu es fille,
Fille, « fil » de l’homme, pierre des champs, et fille de joie
Et souffle du Père dans ma croix.
Reçois ton nom pour grande joie.
Et tu es renoncée, tu es renommée et tu es annoncée, femme !
Femme, grande est ta flamme
Et je dis,
En ce jour, tourne la roue et dans la route pour le toujours,
L’Eve grandit aux quatre voûtes, rejoint l’Adam et c’est l’absout
Et vous vivrez aux quatre clés.
« Dans ton jardin veillent les fleurs,
Et la licorne est ta liqueur
Et c’est la lyre du cœur dans le lieu du grand cône
Et mets l’air dans le cône et la corne s’entend,
Et voici mon souffle et chante l’olifant. »

Et c’est pyramide et c’est tétra pied
Et le 2 pour haut d’as se fait ter dans l’anse,
Audace ! ose le Un dans le Trois et chante, chante,
Sois la note, sois le ton et entonne la vie
Demi-ton de l’hier, aujourd’hui symphonie
Et tu verses et verse et verset et suis le couplet.
Couple de la terre et chant de la mer :
Dans le 2, tu t’oublies, dans l’étreinte du 3 à l’âme te lies.
Et tu vérifies …,
Fais confiance à vérité, fie toi au rêve de longue vie
Et aller vers est univers et ton exil s’abolit
C’est la couche du Nos dans l’AB réunis
Et l’AB chantant est l’arbre de vie.
Comprends nouvel air, reprends le santon et ressens le million,
Le centre d’Eon pour grande richesse
Et richesse, richesse est le roc en essence et ce n’est pas abondance
C’est la danse du don et vous êtes redondance
Et vous répétez et vous reflétez…
Je demande tempérance ou serez sénescence.
La saine essence est le sens dans le « V » du grand cœur
Et c’est gage du cœur et grande gageure
Et c’est le pari, et dans le défi, entendez paradis !
Tout excès est abcès, abcès est absence,
Absence est tumeur, comprenez vos humeurs !
« And give live and give life »
« Donne le souffle de la vie »
« Sois l’aigle dans le vent »
« And sound love and found love »
« Mon âme est le « suis » dans l’I’am
« And I thought » et je saute le temps
Et l’homme est pensée du moment.
« And lo, lo, folk et folk est l’or refoulé »
Et foule, foule au pied l’ancienne denrée
C’est ancienne note et je suis LA
Et l’un fame, infamie est nouvelle face,
Dans les trois faces, tu es le sol
Et le sol est silence, sol de l’anse, anse du pôle et dextra pôle.
Ton épaule dans le 2, le clavier qui bascule et le 3 qui recule,
Avance toi.

Et je dis dans l’angl’s , autre souffle de l’Angel,
Angélus,
Le verbe est en France et dans l’immanence
And I’m and die
Et l’I’m dans l’île est le suis à la lettre de l’infini
Que vive l’Angleterre, c’est angle de la terre
Longtemps elle retint le chant de la licorne.
Aujourd’hui l’ Australie et entenday, l’autre lit, le nouvel Elie
Et c’est l’Ouest, l’Ouest est louange et luminescence
Australie, austral, occident,
Occident, tu fécondes en secret nouvel homme naissant
Et verse au couchant dans le fécondant
Le fruit de l’avant et flûte de Pan
Et Pan est le pain de l’homme debout dans l’I élevé.
Et comprenez : ma patience est passion, le pas de la science dans l’éon
Et science est connaissance,
Et ressentez le « C » et revivez le « N » dans l’aile de l’ « S » et c’est la naissance.
Dans la communion, re-clamez l’union et c’est la naissance et la co-naissance.
Et survivez, survivez à vos mots, défigez l’ancien et fixez le nouveau
Dans le « N » et le « V », comprenez l’élevé en double embryon
Et c’est ma chanson …
Chant de tourterelle n’est pas ritournelle
Et vos oreilles, oeil de l’air est l’aile d’or de l’entendement.
Et vous refusez et vous confondez entendement et enterrement
Et vous craignez l’égarement.
Et l’égard est l’écart dans le « G » fermé
Et vous prenez des égards en source de fierté et je demande humilité :
Et l’humus et l’été et entendez le chant de la terre,
Soyez et l’humus et l’été, soyez le printemps de la terre,
Soyez l’homme dans l’aile, reprenez vos ailes et revivez l’ange
« Et l’ange est le feu, le feu de l’agneau »
« Et le feu dans l’eau et vous êtes faisceau »
« Et soyez le sceau, le sceau du grand nom »
« Dans le vers et Verseau »
« Et renversez et la vie et le cœur et le nom »
Et ta demeure, ta maison est moisson pour le son de ton nom.
Et c’est ma lame et l’âme en moi, l’épée du O en double peau
Et c’est ton épaule, poids du fardeau
Et le phare qui veille dans l’O du néant et du maintenant pour grand océan.
Et sois phare et sois nuit, sois lumière dans la nuit,
Nuit est ta tempête, la tempe et la tête et cherche,
Cherche sur cœur, cherche par cœur et comprends le vent !

Et l’aile dans mon aile est virgula
Et le « G » enlové pour l’ L déployé, dans le silence,
Dans l’absence, dans l’abstinence est la délivrance.
« And fly on the wind, waiting no more »
« Otherway yesterday and new day otherday »
Et le monde outre-tombe
« And the work, other word »
Osez, osez langue nouvelle, langue universelle, navire de l’ « UN », nuée du vivant.
Et vole, vole dans les nues, dans les nuées et l’inachevé sera créé.
« And word, warbler, and see, see the world in the end »
« Forsooth I say, always and all’time »
Et la voie est ma voix dans le temps
« I showered in your heart »
Et c’est pluie d’innocence
Et le 100 dans l’UN est sang de l’agneau, goûtez au vin nouveau.
Oublie, oublie le vocable et parle le monde, reprends le phonème et chante le son
« That is the vow »
Et ce n’est pas compliqué, chante mon AUM dans le monde.
Et tu entendras la voix oubliée, la langue des hommes sur les ondes
Et à tous les pôles, voix chantera, ouvre le temps, l’après vivra.
« And you’ll » dans la houle et dans l’yod divin tu seras,
« And I would »
Et suis l’espoir, port de vos âmes et coule ma houle et ouvre l’œuvre
Et offre l’Oeuf.
Dans ton œil, œil géant, dans l’UN violet et tes couleurs sont Archadie.
Chante l’anglais, langue de lait, langue de lay, frisson de l’eye
Et comprends la langue du vieil écossais.
L’anglais est la langue de l’ancien
Son Il prononce le T de la France et comprends l’échange,
L’échange, l’écho de l’ange en vue continue
Et passe la manche, le bras qui vous manque,
Reprenez l’antique, retrouvez le cantique.
La France est le saint et le rein et le vin
Et l’angle dans la terre détient l’essence de terre pour trois hautes sphères.
Et ta tête tourbillonne et ta main s’abandonne
Dans la foi gardera la voix qui dictera !
La peur est ignorance, errance sans saveur, sauveur est grand de là.
Laisse faire, laisse le « la » te chanter le pas, « and peace now »
Et tu pépies et c’est le pipeau, chante le « I » dans le « O » pour nouvelle peau.
Dans la carapace, tu te tracasses,
Tu pleures l’armure, le mur de l’âme dans larmes des pleurs
Et c’est rumeur dans la ramure, laisse l’amour vibrer dans le OM,
Et entends l’homme haut.
Dessine l’échelle, regarde le « V » dans le descendant
Et comprends le « M » dans le recevant,
Et la mère est le « ma » de l’amant.
Vieille tradition dans la traduction et j’introduis contradiction.
Et je donne à l’Eve le fil nouveau,
Elle a porté d’humilité le lourd fardeau,
L’Eve est l’aleph compassé et je vivrai au-delà de vous
Et vous demande d’entendre la mort, mort est terre d’homme, mort est terreau,
Terre de l’homme et les trois souffles du vivant.
Et comprenez le crucifié
Et comprenez la terre et comprenez l’eau
Et l’eau de la terre pour Verbe germé.
Et soufflez le O, insufflez le V, soyez dans le vent et priez dans le P
Et le SIX élevé et le HUIT de 100 accueillent le fils pour grand continent

 

« And the new world »
« Just name and just work for yourself »
« And self is aleph in double source »
« I said and I made for jingle girls »
« And I’m three relaid »
« My name on the world always seating »
« Verify is post fly »
« The One is enough »
« Enough is my breath »
« You jumble and I think »
« Clear-eyed and I live »
« And my song for ever »

Nancy 1er avril 1990