« Le courage de la goutte d’eau c’est qu’elle ose tomber dans le désert »
Lao Che

 

 

Comment approcher les Chants d’Even Guil ?

Rappelons que les chants d’Even Guil revisitent la kabbale, une kabbale  « chantée » susceptible d’insuffler, d’incarner sa vibration particulière jusqu’à atteindre la conscience cellulaire, encourager et favoriser l’inéluctable mutation de l’homme.

De ce fait, les laisser « pénétrer en soi, » comme les rayons du  soleil au  Levant est d’évidence la meilleure façon de les  « recevoir ». Les entendre plus que les lire, et ne pas intellectualiser : Il ne s’agit pas de gober naïvement des mots, il s’agit de s’abandonner à une vibration particulière.

La meilleure façon en vérité,  je l’emprunte à ce constat avisé de Bernard Montaud à propos des « Dialogues avec l’Ange »  publiés d’après le récit de Gitta Mallasz :

« C’est un livre piège » dit-il « parce qu’il ne faut pas commencer à l’expliquer.
Comme pour un baiser, il suffit de se laisser embrasser… »
(Quand l’ange s’en mêle. Préface 1989).

Gitta Mallasz (clic ! … pour interview)

 

Non pas qu’Even Guil veuille s’inscrire en héritage dans les traces des « Dialogues ». Il s’agit bien, néanmoins, de la manifestation du Maître intérieur, de cet Ange à la « dure pédagogie » qui nous invite à l’éveil avec une « autorité et une intensité brûlantes » lorsque l’être a « soif d’un changement intérieur ».
Even Guil est , à l’ évidence, une veine à part entière, soeur de lait  peut-être, originale , particulière,   futuriste jusqu’à briser « les murs-mots » , pour une nouvelle tâche au coeur du temps. Il ne peut d’ailleurs en être autrement tant le Sillon est large, tant Il est infini et jamais ne Se répète.
Seul le Sourire Le reflète.

 

« Il faut veiller sans cesse à chanter juste »
Even Guil

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