Et vole, vole et dans la voilure, chante dans l’homme sa double nature.
Voue êtes le présent et présentement, pressentiment du premier serment.
Et serment s’accomplit, enserre ta vie, desserre le lien, libère le demain.
Et tu es sol et tu es clé et clé de l’ « S » dans l’ « O » et premier socle
Et c’est soleil en lettres ouvertes
Et c’est le père dans l’Alève offerte et l’arbre de l’an dans le fécondant!
Et sois juste dans ma justice « in my justness »
Et sois justesse, sois leste en esprit et jus de ma treille
Vin qui t’inonde et te rend féconde.
Appelle le père pour nouveau testament
Appelle le père au ciel renaissant
Pour troisième naissance de l’amant.
J’ai appelé mon père et dans la lignée du vivant m’entonne le chant.
Souffle le souvenir et souviens-toi
Donne le demain pour devenir et dessine-toi
Désir en moi, souffrance en toi est grand émoi.
Vos peurs sont impures et vos cœurs repus
Dans l’insolence du toi qui n’est pas dans le Soi
Et je demande élévation, dans l’olifant, chant du levant,
Et c’est olfaction de l’ancienne onction
La myrrhe et l’encens dans la communion
Et je trace le livre de nouvelle race en nouvelle grâce …

Et tes bras se rassemblent en flux continu « it’s the greenness »
Naissance dans le vert, fruit de la vie dans l’inaccompli pour haute survie,
« It’s the greetness »,
Ma voix dans l’avant du temps des enfants de l’amant
Et c’est le salut et c’est la vigueur
C’est le talus et grande digue et grande vigne pour le sauveur.
Et j’enseignerai le signe de l’An dans l’an du futur en Jérusalem.
Jérusalem, Jérusalem
Et vous connaîtrez du fond du cœur le tréfonds du chant de votre sœur!
Sa voix dans la mienne et la mienne est ancienne,
En tout temps exista, au jour de Lui se fait loi,
Et c’est haut lieu du la, haut lieu de Lui, haut lieu du N dans le A.
Et j’ouvrirai la corde au vocal pour qui sait me chanter dans l’aile du vent
Et c’est le « you’ll » sans le vouloir
Sois dans le fil et le filin, filament d’or et sens pur du verbe entendu.
Et je vous convierai aux noces de Cana
Double naissance pour me revoir
Et c’est catharsis dans l’ordalie
Et c’est dalle d’or de la mosaïque
Et le mot de Moïse en mausolée
Brûle ton corps et panse le pied.
Au mont Pelé, tu te rendras, dans le mot épelé, tu souriras,
Derrière la rime se tient mon doigt.
Isole le mot pour nouvelle greffe et sois le greffier,
C’est confier sa plume au gré de mon flot
Et sois forgeron, trace le rond et fonds le fer, souffle le don.
Et à vau vent, au diable Vauvert, court en aval et c’est avalanche
Le chant de lave, le grand ave et le salut
Et entendez « Sontag » et entendez « Sunday » pour premier Dimanche de l’imprégnation.
Imprime le règne en nativité,
Sagesse est promesse en graine fécondée.
Et sois lavandière et verse l’eau et verse, verse le feu en gouttes d’eau.
L’enseignement sera lent, l’enseignement sera lourd et sans détours et sans retour,
De la tour vous serez écarté.
Sans définition votre nom, vous vivrez,
Sans définition, vous vivrez pour première leçon,
Sans définition et sans limite s’élève le chant de l’infini de l’UN
Et entendez l’éternité.
Inanition de l’ancien pour nouveau festin et inanité dans l’effort du courant.
Onanisme, égoïsme, narcissisme, nationalisme, capitalisme
Sont la marque du schisme :
C’est le semi qui vous sépare et ne germe pas
Et je continue
Catéchisme, formalisme, racisme, pluralisme s’exténuent

Et entendez ex et entendez tenu,
Ancienne terre, ancienne manière, triste pitance révolue.
Dans les doubles eaux, dans l’or nouveau, dans l’éclair du père,
Vos horizons s’espèrent en nouvelle terre.
Et dans la longue suite de vos tenues plombées,
Vos suffixes insuffisent et vous laissent atterrés.
Mon esprit infuse et vous diffuse, se suffit à Haute Raison
Et raison est rayon du son.
Et écris le « J » et ressens le « I »,
Le fils de l’Homme se courbe vers l’homme.
Encense le « I » dans le souffle du père et Janus et Isis boivent à la coupe pour grande joie.
Et le « J » est le gisant, sépulcre de l’homme à genoux pour grande race debout.
Et le « O » s’ouvre en cédille et c’est germe divin.
Comprends le « O » dans ton oubli et la spirale d’infini
Et marie le C à son reflet, ouvre le G
C’est le cordon de l’embryon
Trace mon dessein dans le JE que tu attends
Et l’éclair en double V vous traverse dans les trois vents en plan parallèle
Et c’est spirale dans la descente en platitude pour haute altitude.
Et vous divaguez dans l’habitude.
Soyez chemin du droit en trace continue,
Soyez zen, soyez zen, naissez à l’ éclair
Et c’est philosophie du ressenti, du pressenti,
Sagesse universelle des sages du premier âge qui vivent Arcadie en huitième vie.
Et dans l’Arcados, entendez Arcanie, premier récit et le Grand Oeuvre
Imprimés dans la terre, en grotte secrète, peuplée de myriades d’êtres non nés.
Ils revivront dans le temps venu du premier décalogue
Dans la loi du DIX au Decanorum pour l’homme des quatre tons.
Dans le germe du « G », l’homme en initiale est fil continu du fils qui rassemble
Du père qui vous ressemble et vous unit dans le « J ».

Et « vero », dans ma vérité, s’exprime dans le vert,
Comprenez la couleur de mon Gener
Et comprenez les enfants bleus.
Et le vert en guérison et le bleu pour pardon
Et le vert en matière et le bleu pour lumière
Et le vert pour l’envers et le bleu pour mon père.
Et comprenez le gris, grisaille qui vous dégrise dans les entrailles de l’aigri
Et comprenez la double entaille et l’entaille est la faille dans la hantise,
Suspens de l’avant de naître à l’enfant et crainte du néant avant le naissant.
Ecartez-vous des charlatans !
Lourd karma pour les imposteurs,
Vendeurs d’un bonheur sans ma demeure.
Et les faux prophètes martèlent vos têtes
Et c’est synapse dans la relapse.
Délie le mot, libère le verbe, le faux s’aliène, avenez-vous!
Soyez mon char, soyez en attente, soyez l’étal du temps dans le dédale de mes mots.
Le feu embrase vos pensées et je suis le sais.
Et votre talent est en patience et votre patience est pas de science
Tapie dans l’anse de la senne.
Et c’est étape du pêcheur d’âmes et dans la senne, entendez double né
Et vos âmes pétrifiées en nativité.
Soyez le C en essence, soyez le N dans la manche, soyez le N sans la chaîne,
Ouvrez vous à la Cène.

Cana est la fête du canon de l’homme, Cène est trompette en double souffle
Et j’insuffle et tu souffles et j’inspire pour l’expir et tu meurs dans mon demeure
Et entends demeure, dans le double mur, dans la double mort, entends le OM,
Comprends le double et comprends l’UN
Uno, mono, nehemo et nemo, ressens la cascade des mots
Animo, anima, animus, unanimus,
Et c’est l’âme régnante du Soi qui se tait et souffre ensemble et vit ensemble
Et qui s’entend dans l’assemblé, le rassemblé, le ressemblé et entendez le nouveau blé,
Le nouveau pain pour l’humanité.
Et vos semblants sont l’ensablé, sont l’enlisé sans Elisée,
Vous êtes mica dans le sablier et entendez le MI et entendez le KA,
Parcelle de vérité si vous vous unissez
Et ce n’est pas fuite du temps, c’est dévider vos vies pour l’éternité.
Et écoute et entends,
Mono nemo et comprends ecce homo
Et dans l’échelle, au chant de mer, chante le 100
Et dans l’Ecce, en double C dans la spirale, revivez le O!
Et c’est divine syllabe pour le jamais prononcé.
Et le sans nom livre dans l’yod en convoyelles le grand appui
Qui vous réduit et vous séduit dans le déduit.
Et induction n’est pas séduction et intuition n’est pas traduction.
Convoyelle est conviviale et le partage est double vie, double cène et grande senne.
Et je sonnerai consonne sacrée dans les temps approchés.
Arbre du savoir et arbre de connaissance sont double en essence dans la mésalliance.
Je retentis dans la colonne de l’inné, et dans l’inné, le né se sait
Et c’est existence dans l’or igné du toujours su.
L’arbre de l’homme donne la pomme et la pomme est l’acquit,
N’est pas le pommeau mais triste peau.
Et vos acquis sont possessifs en adjectif qui parlent mon père dans le son,
Sans l’abandon, sans l’unisson, et comprenez l’enchaînement.
Et c’est Caïn et c’est Abel,
Caïn dans la haine, Abel tient la table
Et comprenez l’Eve dans l’Adam de l’avant
Et comprenez la lutte intestine,
Et dans l’intestin, prince des reins, labyrinthe du sphinx …
À la grande porte, tu trouveras le mot et c’est pomme d’or
Et le grand combat dans le choix.
Et comprends le serpent dans le rampant,
Mauvais serviteur qui s’éloigne du père dans l’illusoire et c’est dérisoire.
Faites fi de vos peurs et sans condition, retrouver l’if pour grand horizon.
Dans le grand arbre, entendez Abraham, Abraham, dans l’AB réunis et c’est bras de l’âme,
Au seuil premier de l’homme qui se lève et se relève au son de mon père.
Vous êtes déviés dans les deux vies, dans l’une vie seule, je vis.
Soyez, soyez et dans le SOI et dans le suis, vous épousez grand arbre de vie.
L’homme enchantant, la femme enfante l’enfant de l’âme et le gisant est consentant.

Dans le huitième plan,
L’homme dieu se meurt pour l’avènement de l’homme montant.
Mande, demande, quémande,
Appelle à la graine, appelle et égrène le chapelet de vos demandes!
Et je mande mon père et j’émonde le monde et c’est offrande de l’âme éperdue
Qui se donne à son père dans le grand dû, pour l’en-dessus dans le revenu,
Pour le Lui qui devient.
Et le devient est nid de Seth
Et sept liens pour sept lieux est l’avenu et entends le salut
Et entends que de l’Eve se naît le UN
Et c’est mon vin, et c’est l’aléa et c’est ma sève, l’alève en A,
Et c’est mariage, l’âge de la mère,
Nouveau marié dans l’âge du né.
Le nez dans l’expir et le zen en inspir,
Dans l’an né, soyez en double inspir,
Dans le sinus l’inusité
Et dans mon signe l’incréé et c’est silence …
Tu es fille d’ignorance et tu ne sais écrire
Tu es le graphe sans l’orthographe
Ainsi je te veux pour me transcrire.
L’ortho est ma main et ton graphe le droit,
Sois dans ma main, sois dans le juste et sois ma juste main
Sois le droit de ma loi.
Innocente et pressentie dans le sens de l’UN dit, sois !
Sois, soyez et apprenez le prime savoir,
Le savoir du soyez est soyeux chemin !
Sois dans mes yeux et main du Shin et fil du je veux dans la mer des Cieux
Tu te relies en fine étoile
Et c’est fine trame et tramontane pour haute montagne.

 

Et mon temps est la ligne qui ne s’apprend pas,
Terre qui s’attend, monde qui m’appelle et cherche son Nom.
Et mon nom est le tien qui se naît dans le graphique du parchemin,
Dans la rencontre de mes mains.
Dans le vous qui sépare, dépare, accapare, je disparais,
Dans le toi qui répare, repartez, reprenez les mots
Et le Shin et le Mem et c’est élargissement, c’est affranchissement,
C’est délégation du grand légat
Pour double action en lactation
Et c’est mon la dans le pli que tu as, et ton pli en genoux et ton pli sur le cou.
Et tu te déplies et tu te délies dans la course du fou
Et le fou n’est pas lié, il est déployé,
Vous êtes saturés en tissu plombé,
Vous vous enfermez dans le déjà dit, le déjà fait, l’inaccompli et le défait.
Saturne en planète détient dans la loi le double inspir de l’être enfermé.
Vibration de l’UN, vibration de l’Eve et c’est la Thora dans le rond du temps.
Il est le milliard et le vieillard et le gardien, il est roi dans le saint
Et l’astro-maître prononce sa défaite
Et c’est l’Astrée pour l’âme en conquête
Et Saturne en convivial est l’inspir du prêtre en double naissance dans l’inspir de l’ange.
Et vous l’ignorez et vous le craignez et vous confondez l’épreuve et la preuve,
Vous vous apeurez sans vous abreuver et je demande le courage.
Et entendez l’âge et entendez le cœur, et entendez l’âge du cœur
Et dans l’arrêt, le couperet et l’éclat de l’orage,
Age du cœur pour l’âge d’or dans l’arrêt de mon temps
Et c’est grande coupe, dans le nouveau pôle, entendez la coupole,
Chambre nuptiale pour triple choix.
Allez dans le droit, aspire la lumière, tu as passé tous les chemins,
Tu vis au présent dans le fût de mon sein
Et c’est infus, dans l’effusion pour la fusion.
Et fusionner est spirer dans le son en flux continu.
Espérez, périssez, peressez, pater esse, pater esse,
Essayez l’essence et dans l’essentiel, essence du ciel, reprenez naissance
Et nouveau pied dans l’inné.
Et écoute et entends et comprends
Votre vécu est grand chahut et c’est chaos dans l’infaeco
Et l’infaeco est le faillible, le nuisible, l’intraduisible,
Nuit du fa, nuit du la et c’est dans l’intra le blé de la nuit qui induit maladie.
Entends la source du vivant, l’eau qui dénombre et qui adombre
Le plan de l’être en planétaire et c’est être dans le plan.
Et entendez commettre et entendez comète
Le K sur l’horizon et le M juste posé
En double triangle est le composé
Et c’est le centre du carré
C’est l’eurêka, l’heure du K
C’est la couronne, reflet de l’homme dans le sommet de sa colonne.
Et le coronal est anneau du K
Quand l’horizontal et le vertical dans la vie d’Alève s’élève dans l’M.
Et c’est l’homme consonne dans la bonne donne
Et la lettre résonne
Et je transfigure les figures figées en abondance
En filigrane, vous trouverez dans l’entendu, le soutenu sous le vécu,
Trame nouvelle pour grand éveil.
Et c’est le neuf, et c’est nouveau,
Souffle de l’O et feu de Mikaël, étonnez-vous !
Etonnez-vous, ne retenez pas, celui qui retient s’exclut de mon sein.
Je demande obédience dans l’obéissance
Et dans l’audience, dans l’hodie de l’eau qui s’élance,
J’entrace le cœur, vous embrassez vos humeurs.
Élevez les bras, élevez les bras, ouvrez le centre de la croix
Et le clou est la boucle d’oubli.
Sans oublier, sois le croisé, dans le croissant, 100 de ma voix, sens de la voie,
Et c’est configuration
Et c’est dessin pour les nations
Et c’est tracé du premier Nom.

Nancy, 27 avril 1990

(“Adamah” est le Premier Nom)